Il va encore falloir patienter ...
TRANSCOM
IL VA FALLOIR ENCORE PATIENTER...
Le mercredi 07 avril 2010, était prévue une réunion de négociation entre les 16 membres des organisations syndicales et la Directrice des Ressources Humaines France sur les thèmes :
Le Stress & les Conditions de Travail,
Le Handicap,
Le Droit Syndical dans l’entreprise.
Le 07 avril, les organisations syndicales ont fait savoir à la DRH France que nous refusions de poursuivre les négociations prévues ce jour là tant que nous n’avancerons pas sur les conséquences des refus et de l’acceptation de l’avenant au contrat de travail.
La DRH France a donc appelé notre Directeur Général qui s’est assis à la table.
A l’issue de cette réunion, les organisations syndicales ont demandé à notre DG (directeur général) des garanties sur l’avenir (en terme d’emploi et de stratégie).
Nous souhaitons connaître entre autre clairement la stratégie de Transcom France?
Jusque quand le groupe nous soutient financièrement ?
Nous souhaitons avoir une visibilité au sens large du terme sur l’avenir de Transcom et le devenir de nos emplois au sein de la société.
Nous avons demandé que ces réponses soient apportées noir sur blanc.
Les paroles s’envolent …
Par contre, la CGT regrette que la réunion pour nous communiquer ces éléments ne soit pas avant le 28 avril 2010. En effet, la CFDT étant absente pendant 3 semaines, elle a généreusement laissé un délai de 3 semaines à la direction pour fournir ces éléments…
Les salariés auraient peut-être voulu avoir des réponses plus rapidement…
A la question, « quelle décision est prise par la direction concernant le refus des avenants ? », la DRH France nous a répondu qu’elle envisageait plusieurs hypothèses et qu’elle ne souhaitait pas les communiquer afin d’éviter une polémique fondée uniquement sur des hypothèses et non des faits.
A cette heure, aucune décision concernant le refus des avenants n’a donc été transmise officiellement aux organisations syndicales.
Nous ne manquerons pas de vous tenir informés.
Nous avons gagné une bataille. La CGT ne varie pas et continuera à défendre fermement l’intérêt des salariés.